Encyclopédie de Diderot - Géographie moderne

Géographie moderne

Détails: Écrit par Denis Diderot (*); Catégorie parente: Histoire; Catégorie : Géographie moderne

(Géographie moderne) petite ville de France, dans les montagnes de Provence. Long. 24. 30. lat. 44. 4.

Création : 28 juin 1751

Détails: Écrit par Denis Diderot (*); Catégorie parente: Histoire; Catégorie : Géographie moderne

(Géographie moderne) fort d'Italie au duché de Milan, sur le Tanaro. Long. 26. lat. 44. 40.

Création : 28 juin 1751

Détails: Écrit par Denis Diderot (*); Catégorie parente: Histoire; Catégorie : Géographie moderne

(Géographie moderne) île d'Angleterre, une de celles que les Anglais appellent de Sully, et que nous appelons les Sorlingues.

Création : 28 juin 1751

Détails: Écrit par Denis Diderot (*); Catégorie parente: Histoire; Catégorie : Géographie moderne

(Géographie moderne) petite rivière d'Italie dans le Frioul, qui passe à Aquilée, et se jette dans la mer Adriatique ; les Latins l'appelaient Alsa.

Création : 28 juin 1751

Détails: Écrit par Denis Diderot (*); Catégorie parente: Histoire; Catégorie : Géographie moderne

S. m. plur. (Géographie moderne) peuples d'Afrique dans l'île de Madagascar, vers l'île de Sainte-Marie.

Création : 28 juin 1751

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BASTERNE

S. f. (Histoire ancienne et moderne) voiture trainée par des bœufs, en usage sous les règnes antérieurs à celui de Charlemagne, et appelée basterne, de peuples de ce nom qui habitaient anciennement la Podolie, la Bessarabie, la Moldavie, et la Valachie. Grégoire de Tours dit que la reine Denterie, femme du roi Theodebert, craignant que ce prince ne lui préférât une fille qu'elle avait eue d'un premier lit, la fit mettre dans une basterne, à laquelle on attacha de jeunes bœufs qui n'avaient pas encore été mis au joug, et qui la précipitèrent dans la Meuse. Ces sortes de litières étaient même plus anciennes que ce temps ; et Ennodius parle dans un de ses vers, de la basterne de la femme de Bassus. Symmaque écrivant aux enfants de Nicomaque, les prie de tenir des basternes prêtes pour leur frère. M. l'abbé de Vertot pense que nos premiers Français, dans le temps qu'ils demeuraient au-delà du Rhin, avaient emprunté la basterne des Cimmeriens qui habitaient les rives du Bosphore, avant qu'ils en eussent été chassés par les Getes. Voyez le VIII. vol. des Mém. de l'Académie des Inscriptions.

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