adj. (Jurisprudence) se dit de ce qui est admissible ; non-recevable, de ce qui n'est pas admissible. On dit de quelqu'un qu'il est non-recevable dans sa demande, lorsqu'il y a quelque fin de non-recevoir qui s'élève contre lui. Voyez FINS DE NON-RECEVOIR. (A)

RECEVABLE, en terme de Commerce, ce qui est bon, ce qui est de qualité à ne pouvoir être refusé. Ce blé est recevable, il est bon et marchand. On dit au contraire non-recevable de ce qui est mauvais ou décrié. Cet ouvrage n'est pas recevable, il n'est qu'à demi-fini. Dictionnaire de Comm. et de Trév.