Pour cet effet, concevez une puissance appliquée au corps qu'on aplatit ; imaginez une ligne tirée à-travers ce corps dans la direction de cette puissance ; si de cette ligne indéfinie qui marque la direction de la puissance, la partie interceptée dans la solidité du corps, se trouve moindre après l'action de la puissance qu'elle ne l'était auparavant, le corps est aplati dans cette direction.

Il est évident que cette notion de l'aplatissement convient à chaque point de la surface d'un corps aplati pris séparément, et qu'elle est par conséquent générale, quoiqu'elle semble d'abord souffrir une exception.

APPLATIR. Voyez PRESSER, en terme de Cornetier.