S. m. poisson de mer qu'on appelle encore ambera, dont Marmol a fait mention, mais qui n'est connu, je crois, d'aucun Naturaliste. Marmol dit qu'il est d'une grandeur énorme ; qu'on ne le voit que quand il est mort ; qu'alors la mer le jette sur le rivage ; qu'il a la tête dure comme un caillou ; plus de douze aunes de longueur ; et que c'est ce poisson, et non la baleine, qui jette l'ambre. Voyez à l'article AMBRE ce qu'il faut penser de cette dernière partie de la description ; quant aux autres, elles ne peuvent être appuyées ni combattues d'aucune autorité.