Encyclopédie de Diderot
Basculer la navigation
  • Arts & métiers
  • Histoire
  • Histoire naturelle
  • Religion
  • Logique
  • Morale
  • Science
  • Physique particulière
  • Beaux-arts
  • Non classifié

Superstition

  1. FLYNS
  2. HUSCANAOUIMENT
  3. JANNANINS
  4. JEBUSES
  5. JUITZ
  6. KANNO
  7. LUTIN
  8. MAMITOUS
  9. MARAMBA
  10. MOKISSOS
  11. MUMBO-JUMBO
  12. MUZIMOS
  13. NGOMBOS
  14. OFAVAI
  15. OKKISIK
  16. OMETOCHTLI
  17. PAOUAOUCI
  18. PURAN
  19. QUATZALCOATL
  20. QUIAY
  21. RAMTRUT
  22. RIADHIAT
  23. RIO-BUS
  24. SALAGRAMAM
  25. SHASTER
  26. SHOKANADEN
  27. SIAKA
  28. SOMMONA-KODOM
  29. TABRA
  30. TAYAMOM
  31. TENAILLER
  32. TESCATILPUTZA
  33. TIBALANG
  34. TOPILZIN
  35. TOUQUOA
  36. TOXCOALT
  37. TUNDES
  38. VAMPIRE
  39. VEDAM
  40. VICTIME HUMAINE
  41. VITZILIPUTZLI
  42. XAMABUGIS
  43. XENXUS
  44. XODOXINS
  45. YPAINA
  46. ZEMZEM
  • Vous êtes ici :  
  • Accueil
  • Religion
  • Superstition

L'Encyclopédie

  • Accueil
  • Discours préliminaire
  • Planches
  • Cyclopædia
  • Furetière
  • Recherches sur l'Encyclopédie
  • Œuvres de d'Alembert
  • Edition critique ENCCRE
  • Wikisource

Articles populaires Religion

  • MAHOMÉTISME
  • ZÉLE
  • MESSE
  • SOLITUDE
  • TIEN
  • CONFORMISTES
  • REBI

VAUDOIS

S. m. pl. (Histoire ecclésiastique) sectaires qui parurent dans le christianisme au commencement du douzième siècle ; nous ne pouvons mieux tracer en peu de mots leur origine, leurs sentiments, et leurs persécutions, que d'après l'auteur philosophe de l'essai sur l'histoire générale.

Les horreurs, dit-il, qui se commirent dans les croisades ; les dissensions des papes et des empereurs, les richesses des monastères, l'abus que tant d'évêques faisaient de leur puissance temporelle, révoltèrent les esprits, et leur inspirèrent dès le commencement du douzième siècle, une secrète indépendance, et l'affranchissement de tant d'abus. Il se trouva donc des hommes dans toute l'Europe, qui ne voulurent d'autres lois que l'Evangile, et qui préchèrent à-peu-près les mêmes dogmes que les Protestants embrassèrent dans la suite. On les nommait Vaudais, parce qu'il y en avait beaucoup dans les vallées de Piémont ; Albigeais, à cause de la ville d'Albi ; Bons-hommes, par la régularité et la simplicité de leur conduite ; enfin Manichéens, nom odieux qu'on donnait alors en général à toutes sortes d'hérétiques. On fut étonné vers la fin de ce même siècle, que le Languedoc fût tout rempli de Vaudais.
Lire la suite...

Haut de page

© 2023 Encyclopédie de Diderot