adj. pris sub. (Philosophie) C'est le nom qu'on donnait jadis à ceux qui s'occupaient de l'art de transformer les métaux en or, et de la recherche d'un remède universel. Il faut, selon Paracelse, attendre la découverte de l'un et de l'autre immédiatement du Ciel : elle ne peut, selon lui, passer d'un homme à un autre. Mais Paracelse était apparemment dans l'enthousiasme lorsqu'il faisait ainsi l'éloge de cette sorte de Philosophie, pour laquelle il avait un extrême penchant : car dans des moments où son esprit était plus tranquille, il convenait qu'on pouvait l'apprendre de ceux qui la possédaient. Nous parlerons plus au long de ces visionnaires à l'article Alchimie. Voyez ALCHIMIE.