en Musique, le plus aigu des quinze modes des Grecs, dont on trouve le dénombrement dans Alypius. Ce mode, non plus que son voisin l'hyper-éolien, n'était pas si ancien que les treize autres ; et Aristoxene, qui les nomme tous, ne fait aucune mention de ces deux-là. Celui dont il est ici question, s'appelait hyperlydien, parce que sa fondamentale était une quarte au-dessus de celle du mode lydien, dont il tirait son origine. Voyez MODE. (S)