v. n. (Grammaire) c'est se soumettre à la volonté d'un autre. Celui qui commande est censé supérieur, et celui qui obéit subalterne. On obéit à Dieu, en suivant sa loi ; aux rais, en remplissant leurs lois ; à la nécessité, aux passions, etc.

Obéir se prend encore dans un sens différent, lorsqu'il se dit d'un corps roide, inflexible, qu'on ne plie pas à volonté ; le fer trempé n'obéit pas, etc.

OBEIR, se dit d'un cheval qui répond aux aides. Voyez AIDES.