Art militaire
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- Écrit par Guillaume Le Blond (Q)
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Ce mot vient de l'allemand blochus, ou blockhause, boulevard, ou maison de bois ; ou du gaulois blocal, barricade, quoique d'autres le dérivent du latin buculare, boucher un passage.
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- Écrit par Auteur anonyme
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Il y en a qui dérivent ce mot par corruption de Lombarde, croyant qu'elle est venue de Lombardie. Ducange après Vossius, le dérive de bombus et ardeo ; Menage, de l'allemand bomberden, le pluriel de bomber baliste : mais je doute que les Allemands aient jamais connu ce mot. Il est assez ordinaire à Menage, et à plusieurs autres étymologistes, de donner des étymologies de mots qu'ils ont eux-mêmes forges.
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- Écrit par Guillaume Le Blond (Q)
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- Écrit par Louis-Jacques Goussier (D)
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Le mot de bombe vient de bombus, crepitus, ou sibilus ani, à cause du bruit qu'elle fait.
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- Écrit par Edme-François Mallet (G)
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Le bouclier se passait dans le bras gauche. Sa figure a fort varié dans toutes les nations, aussi-bien qu'en France. Il y en avait de ronds ou ovales, qu'on appelait des rondelles. Il y en avait d'autres presque carrés, mais qui vers le bas s'arrondissaient ou s'allongeaient en pointe. Ceux des piétons étaient beaucoup plus longs que ceux de la cavalerie, et quelques-uns couvraient presque tout le corps. Ces derniers boucliers s'appelaient aussi targes, targes, nom qui se donnait encore à d'autres boucliers, dont on ne se servait pas pour combattre, mais pour se couvrir; par exemple, sur le bord d'un fossé d'une ville, contre les flèches des assiégés. Daniel, Histoire de la Milic. Franç. (Q)
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