Antiquité grecque

(Antiquité grecque) , officiers établis dans les jeux publics de la Grèce, pour y maintenir le bon ordre, avec pouvoir de punir suivant l'exigence des cas, tous ceux qui y contrevenaient. Potter, archaeol. graec. tom. I. pag. 448. (D.J.)
S. m. (Histoire grecque) ; genre de punition chez les Grecs, qui consistait à attacher un malfaiteur à un poteau, et à le laisser dans cet état plus ou moins longtemps suivant son crime. Potter. Archaeol. Graec. t. I. p. 131. (D.J.)
S. m. (Antiquité, Athènes) . Les Athéniens nommaient scaphéphores tous les étrangers mâles qui résidaient à Athènes, parce qu'ils étaient obligés, à la fête des Panathenées, de porter en procession de petits bateaux nommés scaphae, . Potter, Archaeol. graec. tom. I. p. 56. (D.J.)
S. m. (Antiquité, Athènes) . Les Athéniens appelaient sciadephores, les femmes étrangères qui demeuraient à Athènes, parce qu'elles étaient obligées à la fête des Panathénées, de porter des parasols pour garantir les Athéniennes du soleil ou de la pluie ; ce mot vient de , parasol, ombelle, et , je porte. Potter, archaeol. graec. lib. c. Xe tom. I. p. 56. (D.J.)
S. f. (Histoire de Sparte) rouleau de bois autour duquel il fallait entortiller une bande de parchemin écrite, pour entendre le sens de cette écriture.